Dans le Perche vendômois, Repère Sauvage déploie ses lodges et son manoir au cœur de 42 hectares de nature préservée. Une parenthèse sensible et futée où architecture, forêt et enfance dialoguent librement.

Une forêt, des prairies, un étang, des futaies, des vallées, un manoir et des cabanes… Sur les 42 ha qui composent ce domaine du Perche vendômois (entendez par là le Perche de tout au sud), seuls 15 ont été dédiés à l'exploitation de Repère Sauvage, le reste c'est la forêt, gérée le plus durablement possible. Autant dire que le terrain de jeux est XXL, tant pour ceux qui logeront au manoir (un ancien relais de chasse 19e) que ceux qui auront préféré les lodges (posés, légèrement surélevés, sur des pieux vissés afin d'impacter le moins possible le territoire). Pensés par le cabinet d'architecture Jaams et  Gwenaelle Girard, pour l'architecture intérieure, les lieux jouent sur d'habiles dedans/dehors, laissent entrer la lumière, laissent s'échapper le regard. Du mobilier sur-mesure, des formes qui se sont arrondies, des coloris en demi-teintes qui vont répondre à des aplats plus francs : ça chahute un peu, juste comme il faut. Comme les enfants qui ont trouvé là un paradis, notamment grâce à Bas les Murs (ateliers pour grandir avec la nature ) et Michpocha (QG des enfants curieux dans le 17e à Paris) qui ont imaginé un tas d'activités dédiées. Ajoutez une table imaginée par le chef Arnaud Domette qui revient là où il est né; vous avez le parfait combo pour non pas déconnecter, mais bien reconnecter.